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Sandrine Josso a gagné la bataille judiciaire

On ne sait pas encore si elle gagnera la bataille électorale, elle a déjà gagné la bataille judiciaire. La plaignante déboutée par le tribunal des Prud’hommes vient d’être à nouveau déboutée de toutes ses demandes par le tribunal judiciaire de Saint-Nazaire dans le cadre d’une procédure en référé dont le jugement a été rendu ce jour.
Sandrine Josso
Sandrine Josso

Sandrine Josso, qui n’a jamais douté, se dit satisfaite de cette décision.

« Accusée par ma collaboratrice de lui devoir de l'argent, cette dernière a été déboutée de toutes ses demandes par un jugement du Tribunal des Prud'hommes de Saint-Nazaire en date du 1er octobre 2021.

Elle a retenté sa chance en saisissant le Tribunal Judiciaire avec la volonté manifeste de me nuire.

Par un référé rendu ce jour, j'accueille avec satisfaction cette décision qui démontre mon innocence totale et conforte encore plus le fait que j'ai été victime d'une stratégie de déstabilisation politico-médiatique et d'un acharnement sans relâche, caractérisée par une mauvaise foi incontestable, en amont des élections législatives.

Je poursuis mon action pour les électeurs de notre territoire et pour notre nation avec la plus grande détermination ! »

10/06/2022 | 9 commentaires

Vos commentaires

#1 - Le 10 juin 2022 à 18h40 par Jossopas
Comme Mme Josso se réjouit vite.
En effet le tribunal s'est juste jugé incompétent.


Déboutée, la collaboratrice de Sandrine Josso « engagera une procédure au fond »
​Il n’y a pas lieu de juger l’affaire en référé, c’est-à-dire en procédure rapide


Donc point de victoire , seulement un report.

Espérons pour Mme Josso qu'elle soit battue dimanche, ainsi elle aura tout le temps pour se consacrer à sa défense.
#2 - Le 10 juin 2022 à 18h50 par Pascale, Herbignac
Madame Josso prétend avoir gagné mais elle n’a pas gagné en fait. Le juge des référés a simplement dit que cette affaire n’avait rien à faire en référé. L’affaire n’est donc pas clôturée et je ne comprends pas que Madame Josso prétende le contraire
#3 - Le 10 juin 2022 à 19h33 par Michael , Guerande
L’argument de Madame Josso dans cette affaire était que son attachée parlementaire devait soit disant de l’argent à l’ex conjoint de Madame Josso est que c’est pour cette raison qu’elle ne remboursait pas le prêt à Madame Guillanton. Or le juge des référés a débouté Madame Josso sur ce point. Elle n’a donc plus d’argument à faire valoir et devra donc rembourser la dette. Madame Guillanton engage donc une procédure au fond. Affaire à suivre….
#4 - Le 10 juin 2022 à 19h41 par Guy, Pornichet
Je viens de lire Ouest France et ce que je vois c’est que le juge a décidé que cette affaire ne relevait pas d’un référé. Madame Guillanton vit seule avec sa fille, elle a bien prêté de l’argent à la députée laquelle d’ailleurs dans un mail qu’elle lui a adressé le reconnaît puisqu’elle lui écrit qu’elle met en place un virement automatique. Virement qu’elle n’a fait que trois fois depuis 3 ans. Il reste donc 9000€ qu’elle doit.
Pourquoi ne demandez-vous pas à Madame Guillanton des explications. Si Ouest France vient de publier la réponse de celle-ci, j’imagine qu’en grands journalistes professionnels que vous êtes, vous auriez dû lui demander sa version des faits. Or vous ne publiez que les communiqués que Madame Josso vous adresse. Lisez les conclusions du juge aux référés. Elles sont claires.
#5 - Le 10 juin 2022 à 21h26 par Emma le retour, Pornichet
Le rejet d'un référé ne signifie en rien l'innocence de la personne qui est assignée.
le plaignant doit faire une nouvelle assignation sur le fond.
Le tribunal n'a pas retenu une urgence à trancher mais n'a rien jugé.
A noter que cette information tombe à quelques heures de la fin de la campagne et ressemble à une manipulation orchestrée. Ceci est fort désagréable pour l'électeur convaincu et l'électeur hésitant.
Cette succession d'articles qui tendent à faire de la candidate sortante une victime de complot semble anticiper la justification d'un échec électoral alors que la justice n'a toujours pas décidé.
A ce jour aucun juge n'a déclaré la candidate sortante ni victime ni auteur.
Cette pseudo affaire ( entre deux amies: avant d'être l'une vis à vis de l'autre employeur et employée ces personnes étaient déjà intimes; Madame la Députée a employé une copine) prend toute la place et distrait l'électeur des vrais sujets: bilan et projet.
#6 - Le 10 juin 2022 à 23h39 par Maryse, GuÉrande
Une nouvelle fois, vous faites du pro Josso. Tous les autres journalistes, ont lu les conclusions du juge. Et donc non, Mme Guillanton n’a pas été déboutée. J’ai lu la presse et c’est pourtant très clair. Le juge des référés s’est dit incompétent. Bref, ça ne relève pas de lui. Mme Guillanton poursuit donc Mme Josso. Et elle a bien raison de ne pas se laisser faire. Où est le soit disant complot ? Envolé ! Il n’y en a jamais eu. En revanche, il y a bien une dette toujours pas remboursée de plus de 9000€.
#7 - Le 11 juin 2022 à 16h08 par Charouin
#5…..électeur convaincu d’un maigre bilan, mais n’hésitant pas à ne pas la reconduire. Et pourtant il est un média convaincu du contraire…
#8 - Le 11 juin 2022 à 16h56 par Maryse, GuÉrande
Il n’y a pas de manipulation. Mme Josso n’a cessé de demander des reports et la médiation n’a pu se faire car *****MODERATION*** Vie privée*** Donc, on ne peut accuser la collaboratrice de Mme Josso d’avoir voulu piéger la députée à deux jours du scrutin. Comme l’indique le juge cette histoire dure depuis trois ans ! Quand on gagne 5600€ par mois et que l’Assemblee prend à sa charge 1200€ de votre loyer, on rembourse ses dettes ! Ça n’a que trop durer. C’est indécent.
#9 - Le 11 juin 2022 à 20h30 par Emma le retour, Pornichet
Charouin# 7: je pense à la lecture de votre commentaire que je n'ai pas été claire ds ce que j'ai exprimé en # 5.
Je résume mon propos ( qui est général et sans parti pris vis à vis de notre candidate sortante): si la population aime et se sent aimée, considérée du candidat sortant, cette population revotera pour elle ou lui, même si des affaires judiciaires sont en cours. Je ne citerai aucun nom de candidats qui ont même connu l'incarcération et qui malgré tout sont allés jusqu'à un sixième ou septième mandat au niveau municipal ou législatif. Ce sont des candidats très forts sur le volet de la proximité: 2 exemples: présence aux réunions d'associations et paye sa tournée au bistrot après une virée sur le marché PENDANT TOUT LE MANDAT et non en période électorale. Si l'élu est proche des femmes et des hommes du territoire AU QUOTIDIEN, ces derniers lui pardonneront tout et revoteront pour lui par ce qu'il est présent, il partage leur vie et qu'il fait le job. S'il n'est pas réélu c'est qu'il n'a pas été bon un point c'est tout.

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